Contrôle ouvrier

Contrôle ouvrier et nationalisations dans la révolution portugaise : réformisme ou socialisme (2/2)

Nous publions ici un texte de l’historienne Raquel Varela sur le rôle du Parti communiste portugais dans la période révolutionnaire qui va de la révolution des œillets en avril 1974 au coup d’État de novembre 1975 qui marqua la fin de la périodedu MFA. read more »

Contrôle ouvrier et nationalisations dans la révolution portugaise : réformisme ou socialisme (1/2)

Nous publions ici un texte de l’historienne Raquel Varela sur le rôle du Parti communiste portugais dans la période révolutionnaire qui va de la révolution des œillets en avril 1974 au coup d’État de novembre 1975. Durant cette période, de nombreuses nationalisations ont été opérées. Si l’auteure interroge le pourquoi de ces nationalisations – sauvegarde et restructuration par l’État bourgeois d’entreprises en quasi-faillite ou produit de la mobilisation de la classe ouvrière ? – elle montre la faiblesse même du concept de contrôle ouvrier à l’égard de celles-ci. read more »

Fabriquer et vendre ! Fabriquer sans patrons, remettre en route l’usine sans patrons !

Comme l’indique Charles Jacquier dans son introduction, Lip c’est d’abord « la plus grande grève générale sauvage de l’histoire ». Et ce livre « évoque un combat exemplaire qui modifie en profondeur la vie de toutes celles et de tous ceux qui y participèrent ». read more »

Vive le 生産 管理 (seisan kanri) !

En 1945, le Japon impérial est écrasé. Le pays est mis sous la coupe réglée des Américains et un semblant de démocratie se reconstruit. Le peuple japonais vient de sortir de plusieurs décennies d’un régime autoritaire et militariste. Un puissant désir de libération politique et sociale soulève le pays. Entre avril et mai de la même année, on recense 110 luttes pour le contrôle de la production (seisan kanri) par les travailleurs. read more »

1971 : Grève active à la Clyde

Le gouvernement conservateur d’Edward Heath décide de fermer les chantiers navals de Glasgow dont l’État est actionnaire significatif. Les salariés prennent alors le contrôle de l’entreprise et honorent le carnet de commande en cours. Après 16 mois de lutte, le gouvernement cédera et apportera les fonds nécessaires à la poursuite de l’activité. read more »

L’Institute for Workers’ Control (1968-1980)

Pendant près de 20 ans, l’Institut for Worker’s Control (IWC) a défendu, au Royaume Uni, le drapeau du contrôle ouvrier et de l’autogestion dans les syndicats et les partis de gauche, notamment au sein du parti travailliste. Ses membres ont influencé de nombreuses luttes ouvrières dans ce sens. Un héritage à ne pas oublier. read more »

ABC Coop : une expérience de gestion ouvrière sous le signe de la lutte des classes

La ville de Colonia del Sacramento est surtout connue pour la richesse de son patrimoine historique, qui lui a permis d’être classée au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1995. Elle fut fondée en 1680 par les portugais et appartint successivement au Portugal, à l’Espagne et au Brésil avant de devenir le chef-lieu de département de Colonia lors de l’indépendance de l’Uruguay en 1825. read more »

Dans leur usine occupée, des ouvriers aspirent à bâtir une « citadelle de l’autre économie »

Dans la banlieue industrielle de Milan, des ouvriers tentent de relancer une activité dans leur ancienne usine de pièces automobiles. Ateliers et chaînes de production accueillent désormais un centre

« Piano piano », les 30 000 m2 de l’usine Maflow, désertée fin 2012, ont repris vie. L’histoire de cette fabrique de pièces automobiles de la banlieue de Milan aurait pourtant pu se terminer comme beaucoup d’autres. Le processus est déjà vu maintes fois. Une usine mise en faillite malgré une activité prospère. Le rachat - en liquidation judiciaire - par un groupe qui lorgne sur les machines et les brevets. Puis la délocalisation des machines vers la Pologne, deux ans plus tard.

Plus de 60 entreprises récupérées en trois ans en Argentine

La quatrième enquête nationale sur les entreprises récupérées par les travailleurs (ERT) réalisée par le programme « Faculté ouverte » de l’université de Buenos Aires confirme que le mouvement argentin des entreprises récupérées s’inscrit dans la durée. Depuis 2001, plus de 300 entreprises en faillite ou abandonnées par leurs propriétaires ont été reconverties par leurs ancien-ne-s travailleur-se-s et parmi elles, 60 l’ont été sur les trois dernières années. read more »

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