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German26/04/13
Im folgenden dokumentieren wir einen von Gregor Kritidis herausgegebenen Sammelband zur Aktualität des Werkes von Karl Korsch, der auf einer Tagung aus dem Jahr 2003 beruht.
Aus der Einleitung von Joachim Perels: "Es geht uns um die Problemstellung: Welche Aspekte des Werkes von Karl Korsch bilden heute noch Anknüpfungspunkte, die sich bei anderen Denkern nicht finden und auch heute noch von grundlegender Bedeutung sind. Um dies herauszufinden, ist es vielleicht nützlich, einen kleinen Rückblick zu wagen."
Inhaltsverzeichnis:
Joachim Perels
Einleitung 1
Jürgen Seifert
Zum Stellenwert der juristischen Aktion
bei Karl Korsch 3
Heinz Brüggemann
Das Geschlossene und das Offene - Dialektik bei
Korsch und Brecht 9
Michael R. Krätke
Karl Korschs Marx-Kritik Selbstzweifel und
Selbstreflexion im Marxismus 22
Oskar Negt
Michael Buckmiller und Karl Korsch.
Wahlverwandtschaftliches Denken. 28
Gert Schäfer
Zum Verhältnis von Theorie und Praxis
bei Karl Korsch 34
Michael Vester
Korschs Kritik am Jakobinismus und der
Verelendungstheorie im Marxismus
der II. Internationale 37Der ganze Sammelband im Volltext als PDF:
Gregor Kritidis (Hg.): Zur Aktualität von Karl Korsch und seine Bedeutung für die Entwicklung der sozialistischen Linken, Hannover 2013.
Αρχές του 20ού αιώνα – Εργατικά Συμβούλια και Εργατικός Έλεγχος κατά τη διάρκεια Επαναστάσεων, Κριτικές Βιβλίων, Gert Schäfer, Gregor Kritidis, Heinz Brüggemann, Βιομηχανική Δημοκρατία, Joachim Perels, Jürgen Seifert, Michael R. Krätke, Michael Vester, Oskar Negt, Συνδικαλισμός, Karl Korsch, ΓερμανίαMediaΝαιΝαιCurrent DebateΌχι -
German25/04/13
Die Korsche Position, die Produktionssphäre demokratisch umzuwälzen, den Lohnarbeiter nicht nur als Staatsbürger, sondern als Produzent zu emanzipieren, kommt angesichts der "psychischen Verelendung" (Gerlach) unter zunehmend prekären Arbeitsbedingungen wieder brennende Aktualität zu. In ökologischer Hinsicht stellt sich die Problematik ebenso drängend: Noch bis in die 60er Jahre bildete die Beseitigung materiellen Elends einen zentralen Angelpunkt sozialistischen respektive sozialdemokratischen Denkens; der Frage nach dem gesellschaftlichen Nutzen produzierter Güter - sieht man von der Kriegswaffenproduktion einmal ab - kam keine besondere Bedeutung zu. Erst unter den Bedingungen des Überflusses bei gleichzeitig relativer Armut und zunehmenden Schäden am Ökosystem gerieten die destruktiven Folgen kapitalistischer Akkumulation für die Biosphäre in den Blick. Die Frage, wie und was zu produzieren sei, ist jedoch ohne die am Produktions- und Reproduktionsprozeß Beteiligten gar nicht zu klären geschweige denn zu lösen. In Anknüpfung an Korschs Idee der "Industriellen Autonomie" lassen sich dazu durchaus Überlegungen anstellen...
...
Den ganzen Artikel lesen:Erstmals erschienen in der Zeitschrift Sopos, Ausgabe 4/2005.
Αρχές του 20ού αιώνα – Εργατικά Συμβούλια και Εργατικός Έλεγχος κατά τη διάρκεια Επαναστάσεων, Gregor Kritidis, Karl Korsch, ΓερμανίαEraΝαιΝαιNoΌχι -
German22/04/13Die wirtschafts- und gesellschaftspolitischen Pläne der SPD im Sommer 1932
Wir schreiben den 14. August 1932: Die Leserinnen und Leser der sozialdemokratischen Tageszeitung „Vorwärts“ reiben sich ungläubig ihre Augen. Werden sie das Opfer einer plumpen Fälschung?
Die Reichstagsfraktion der SPD, so kann man auf der Titelseite lesen, hat für die nächste Sitzung des Parlamentes am 30. August eine Reihe von Anträgen vorbereitet, die eine Verstaatlichung des Großgrundbesitzes, der Montan-, Chemie- und Zementindustrie, der Versicherungen, der Elektrizitätsversorgung und – namentlich genannt – der Dresdner Bank, der Commerzbank, der Berliner Handels-Gesellschaft und der Deutschen Bank beinhalten. Eine Entschädigung ist lediglich auf der Basis der momentan niedrigen Aktienkurse vorgesehen. Zugleich würden Forderungen ausgearbeitet, die das Los der Arbeitslosen spürbar lindern, neue Arbeitsmöglichkeiten schaffen und das Preisniveau für Lebensmittel, Mieten und Brennstoffe erheblich absenken sollen. Am 20. und 21. August veröffentlicht der „Vorwärts“ den genauen Wortlaut der in Aussicht gestellten Anträge.
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Den ganzen Artikel lesen:
Rundbrief der AG Rechtsextremismus/Antifaschismus beim Bundesvorstand der Partei DIE LINKE, Heft 3-4/2012, S.34-39.Αρχές του 20ού αιώνα – Εργατικά Συμβούλια και Εργατικός Έλεγχος κατά τη διάρκεια Επαναστάσεων, Βιομηχανική Δημοκρατία, Εθνικοποίηση / Απαλλοτρίωση, Reiner Zilkenat, Κοινωνικοί Αγώνες, Συνδικαλισμός, ΓερμανίαTopicΝαιΝαιNoΌχι -
French19/04/13
Un groupe de personnes qui mutualisent leur travail (une scierie), leurs revenus, leurs moyens pour travailler et vivre en autogestion dans la Creuse depuis 25 ans. Synthèse des conversations de 2004 sur leurs principes de fonctionnement. On trouvera par ailleurs une présentation de leur livre particulièrement réussi qui raconte leur histoire et surtout allez sur leur site où ils présentent eux-mêmes leur fonctionnement.
À vingt ans, au lieu de changer le monde, ils décident de changer leur vie et de créer ensemble une entreprise pour y expérimenter d’autres formes d’organisation du travail. Ce sera une scierie Ambiance Bois, qui s’installera en 1988 sur le Plateau de Millesvaches, en Limousin. De fil en aiguille, ce ne sont pas seulement les modalités classiques de production qui seront remises en cause, mais la place que cette dernière occupe dans nos vies. Ainsi les associés d’Ambiance Bois découvriront que « travailler autrement », c’est consommer, agir, décider et finalement « vivre autrement ». Ce livre raconte le chemin parcouru entre l’idée lançée un jour (Et si on faisait une scierie ?) jusqu’à sa réalisation.Quelle organisation ?
Pour ce qui est de l’organisation du collectif d’une part et d’Ambiance Bois d’autre part : une réunion hebdomadaire du collectif a lieu chaque vendredi toute la matinée (mais où on fait aussi état du planning de travail de la semaine suivante). Une autre est fixée, pour Ambiance Bois uniquement, un vendredi par mois. Enfin, une semaine par an, ils partent tous ensemble, sans les enfants, pour faire un bilan annuel du tout : Ambiance bois, le collectif,… Cette semaine s’est mise en place depuis que chacun a maintenant des enfants, et qu’il est devenu de plus en plus difficile, au fil du temps, de se retrouver tous. Ils partent aussi occasionnellement, quelques fois dans l’année (à raison d’une journée chaque fois) pour faire des sortes de bilans intermédiaires. S’agissant de la hiérarchie, le PDG est totalement formel. En revanche, le conseil d’administration fonctionne. Il se réunit environ trois fois par an. Leur spécificité : ils ne votent jamais. Essaient toujours d’arriver à un consensus.
Comment circule l’information ?
Tout le monde ne peut évidemment pas connaître le détail de chacun de postes. Cependant tout le monde a à sa portée la connaissance des grandes lignes de tous les travaux en cours et de leur attribution du fait d’un système de plannings consultables par tous :
- un planning de travail de la semaine
- un planning des présences aux repas
- un planning des activités perso de chacun (rendez-vous médecins, activités associatives…). Essentiel pour organiser les gardes des enfants et la gestion des voitures. Par ailleurs :
- tableau de gestion des commandes, états des stocks…
- il y a aussi le guide de réunion de la pause de 10 heures : les points essentiels y sont balayés et qui veut/qui a quelque chose à dire arrête le clameur sur le point qui l’intéresse.
- s’ajoutent à cela les réunions listées plus haut. A noter aussi le fait que tous les samedis midi, ils essaient de manger vraiment tous ensemble, sans service enfant, ce qui n’est pas le cas des autres jours de la semaine. Enfin, ce qui entre également dans la circulation de l’information, dans le sens d’une compréhension globale : l’importance du fait de travailler sur différents postes qui permet de connaître les difficultés de chaque poste et donc de pouvoir échanger sur les difficultés et d’y réfléchir ensemble.Spécialisation des postes ou pas ?
Tout le monde ne tourne pas sur tout – c’est malheureusement impossible à leur échelle, pour des raisons logiques de besoins de suivi et de spécialisation inévitable pour leur secteur d’activité ; cependant, personne ne fait qu’une seule chose. On peut schématiquement dire que tout le monde à un pied à la production et un pied dans l’administratif et tout le monde à un suivi de près ou de loin de presque chaque poste. L’idée est tout de même de lisser au maximum la dichotomie récurrente entre le manuel et le “ bureaucrate ”. La spécialisation des postes est inévitable : sur des travaux extrêmement techniques tels que le délignage du bois, la menuiserie, la comptabilité/gestion ou les travaux de plans d’investissements, il est évident que n’importe quel nouvel arrivant non formé ne peut pas s’y coller.
Egalité des salaires ou pas ?
Le salaire horaire est le même pour tous. Les temps partiels, en revanche varient totalement d’une personne à l’autre (d’une journée à 35 heures par semaine). Ceci a largement changé au fil du temps. Au départ, les temps partiels n’étaient pas effectifs ; ils ne se payaient pas toutes leurs heures, parce qu’ils ne tiraient pas suffisamment de bénéfices. Aujourd’hui, c’est une réalité : ils travaillent moins. Tout le monde est actuellement en CDI. Cependant, ce n’est pas systématique à l’embauche. Du fait du tout collectif, il est en fait nécessaire de savoir si chacun peut s’y retrouver quand de nouvelles personnes intègrent le collectif (ils ne font plus de recrutement en dehors du collectif). Ainsi, tout nouvel arrivant passe par un CDD qui peut-être renouvelé, et quand tout le monde est sûr de la pérennité de la relation, on passe au CDI. Par ailleurs, une cuisine interne est toujours envisageable pour des statuts spécifiques de passage. Ce choix de ne plus embaucher de personnes extérieures au collectif découle du constat flagrant que la gestion collective d’Ambiance Bois ne pouvait plus fonctionner avec des personnes extérieures. Ceci s’était déjà constaté en sens inverse (personnes intégrées au collectif mais qui ne travaillaient pas à Ambiance bois) : Catherine et Anne qui avaient pourtant porté le projet à bout de bras dans son ensemble depuis le début, mais qui ne travaillaient alors pas encore à la scierie se sont rapidement rendues compte qu’elles étaient peu à peu mises à l’écart du reste du groupe : écartées du terrain, elle l’étaient de fait également des discussions. Ils comptent leurs heures sur chaque boulot. Ils ont une compta analytique. Nécessaire pour établir leurs prix de revient. Depuis le début, ceux-ci ont d’ailleurs ont énormément baissés. Gains énormes liés à leurs travaux d’investissement.
Quelle structure juridique ?
Une SAPO (Société anonyme à participation ouvrière). Pour résumer l’originalité du statut (seulement une centaine d’entreprises de ce type en France) : il existe une rémunération des actions de travail au même titre que celles des actions de capital. Clairement la propriété de l’entreprise est collective. Ceux qui n’ont pas mis d’argent dans son capital ont néanmoins leur mot à dire de la même façon que les autres. (Voir descriptif du statut dans leur livre et dans les outils de la base documentaire de ce site) Pour le reste, la propriété de la plupart des biens est également collective. Pour cela ils jonglent avec plusieurs structures : CRISE, l’association propriétaire du presbytère, d’autres locaux et de la plupart des véhicules et assurances correspondantes, terrains et autres choses communes, ainsi qu’une SCI (société coopérative d’investissement) pour la propriété de GUISE (leurs nouveaux locaux comprenant la nouvelle cuisine collective) qui là n’appartient pas à l’ensemble du collectif, mais seulement à 6 personnes. Il s’est trouvé être plus intéressant là, de procéder ainsi du fait de possibilités d’aides financières à la restauration que ce statut permettait contrairement au statut associatif. Il s’agit donc d’un simple montage financier puisqu’au final, du fait de la collectivité des ressources, tous ont acheté ces locaux, ce ne sont que des noms formels qui apparaissent sur l’acte de propriété. La location de GUISE est en effet fictive puisque l’argent tourne en cercle fermé.
Qu’est-ce qu’on fait des excédents ?
Le conseil d’administration décide de l’utilisation des excédents. Plusieurs possibilités :
- affectation au report à nouveau
- verser des dividendes : aux actionnaires en capital d’une part ; aux actionnaires de travail d’autre part par le biais de la société coopérative de travail qui se charge de décider de leur utilisation. En fait, ce n’est que depuis quelques années que la société dégage suffisamment de richesse pour pouvoir rémunérer en dividendes les travailleurs. Cependant, les années précédentes, le conseil avait donc décider de l’attribution de primes de travail afin de marquer une valorisation. Ceci a fait l’objet de débats animés avec les salariés. Ceux-ci voulaient, en contre partie, de la non rémunération de leurs parts de travail, des hausses de salaires alors que pour l’ensemble des membres du collectif, l’objectif était de travailler moins. Ce système de primes de travail a ainsi été instauré en guise de demi mesure, mais pour cela il a fallu travailler plus afin de pouvoir dégager cet argent (reflète encore une fois l’illogique du système intégrant des salariés extérieurs au collectif).Le poids des membres fondateurs et des mythes fondateurs ?
A priori il n’y a pas de “ dictature ” des valeurs et fonctionnements fondateurs. Le projet évolue totalement au fil du temps et chaque personne qui arrive apporte et fait évoluer les choses. Selon eux : tout peut toujours être remis en cause. Au début, par exemple, il leur apparaissait essentiel de vivre tous ensemble ; par la suite, avec la naissance des premiers enfants, il est apparut au contraire qu’il était important de ne plus l’être. Avant toute chose, l’essentiel est que chacun s’y retrouve et se sente au mieux. Cependant, il y a des choses sur lesquelles il n’est pas vraiment question de revenir (comme la mise en commun des revenus). Il y a tout de même une base commune de valeur à laquelle les nouveaux arrivants doivent forcément adhérer. Reste donc à savoir jusqu’où on peut aller dans la remise en cause des choses.
De l’affect dans les relations ?
Evidemment. Mais ils évitent autant que possible un mode de fonctionnement fusionnel et essaient de faire la part objective de chaque problème.
Parlez-vous de votre fonctionnement à l’extérieur ?
Ils ont au quotidien une diffusion informelle de leur valeurs et fonctionnements. C’est une diffusion occasionnelle, en fonction de la personne en face… Pas de systématisme, mais tout de même une démarche volontariste. Ils ne refusent jamais la sollicitation de journalistes (contrairement au GAEC de Vialaret qui refuse quasiment totalement toute communication sur Repas ou leur fonctionnement interne par méfiance absolue envers la presse ; une sélection drastique est appliquée). Ambiance Bois, eux, ne passent pas à côté des occasions et, autant que possible, ne les attendent pas : ils ont été les premiers à publier un livre sur leur expérience. L’idée : parler eux-mêmes d’eux-mêmes. Par ailleurs, des visites réguliéres de la scierie débouchent souvent sur des discussions autour de leur fonctionnement. Il n’y a pas de règle, mais les discussions dérapent plus ou moins systématiquement (sur la région, le budget, le fonctionnement). Trois/quatre points sont en général développés, séparément ou pas : le fonctionnement coopératif de l’entreprise, le développement local, la scierie stricto sensu, le collectif. C’est toujours très difficile pour eux de séparer les deux projets (scierie et collectif), mais souvent ils ne peuvent parler que du projet de coopératif de l’entreprise ou du développement local.
Contribuer au développement local ou à la vie de quartier ?
La notion de développement local n’était absolument pas à l’origine du projet. Mais avec le projet de bois, dans une des régions forestières les moins favorisées (en dessous du seuil de désertification), ils se sont vite sentis intégrés dans un environnement sur lequel ils pouvaient influer et par lequel ils étaient aussi conditionnés. Très vite, avec les engagements associatifs de chacun, avant même qu’Ambiance bois ne voit le jour, c’est devenu une logique défendue par tous.
Autogestion.coop
24 novembre 2006
www.autogestion.coopChristian Vaillant, Εργατική Αυτοδιαχείριση, 21ος αιώνας – Εργατικός Έλεγχος στη Σύγχρονη Εποχή, Γαλλία, ΕυρώπηTopicΝαιΝαιNoΌχι -
French12/04/13
Les travailleurs de Vio.Me., une usine de matériaux de construction à Thessalonique, en Grèce, abandonnée par ses propriétaires, ne sont pas payés depuis mai 2011. Par décision de son assemblée générale, ils ont décidé d’occuper l’usine et la faire fonctionner sous le contrôle des travailleurs en démocratie directe. Après une lutte de près d’un an, qui a attiré l’attention et la solidarité en Grèce et dans le monde entier, ils ont redémarré la production le 12 Février 2013, après 3 jours de manifestations intenses.
Un film sous-titré en français
Comment aider?
- Faites passer le message! Transmettez cette information à vos amis, contacts et organisations. Notre protection contre la répression est notre lien avec la société! Le secret de notre réussite est le lien solide avec la communauté!
- Contribuer économiquement! Les coûts de production sont élevés et les premiers mois seront décisifs. Les travailleurs ont un plan solide et sont très optimistes quant au succès de l’entreprise, mais il faudra un certain temps avant qu’ils ne soient consolidés dans le marché. Contribuons tous! Utilisez le bouton Donate (sur site original) , n’importe versement est utile!
- Organisez- vous, dans votre lieu de travail, votre quartier, votre ville! Favorisez l’autogestion sociale et réelle, sans la nécessité des intermédiaires, des politiciens professionnels ou des bureaucrates! Formuler de coopératives et des assemblées de quartier, protéger les biens communs, promouvoir une nouvelle civilisation basée sur la proximité, la reconnaissance mutuelle et la solidarité.
- Contactez-nous a protbiometal@gmail.com. Les travailleurs seront heureux de sentir la chaleur de la solidarité venante de l’étranger!Association Autogestion
12 avril 2013
http://www.autogestion.asso.frSite original : http://www.viome.org/p/francais.html
Vio.Me., VIOME, Εργατική Αυτοδιαχείριση, 21ος αιώνας – Εργατικός Έλεγχος στη Σύγχρονη Εποχή, Ελλάδα, ΕυρώπηEraΝαιΝαιNoΌχι -
German03/04/13Rezension
„Endlich!“, ist man fast geneigt zu sagen: Zum einen, weil die Veröffentlichung dieses Sammelbandes bereits für Dezember 2011 beziehungsweise Januar 2012 vom Verlag angekündigt worden war; zum anderen, weil die letzte umfassende Darstellung von weltweiten Beispielen der Arbeiterdemokratie und Arbeiterselbstverwaltung bereits mehr als 40 Jahre (1971) zurückliegt – damals noch herausgegeben von Ernest Mandel. Ein genauer Blick auf die aktuellen „Dynamiken der Arbeiterkontrolle im neoliberalen Zeitalter“ (16) schien daher längst überfällig. Dario Azzellini, Politikwissenschaftler der Universität Linz, und Immanuel Ness, Professor für Politikwissenschaften an der Universität New York, haben diesen Sammelband in sechs Abschnitte unterteilt, in denen sich die Autorinnen und Autoren auf unterschiedlichste Weise mit „emanzipatorischen Momente[n] in der Geschichte der Arbeiterbewegung“ (10) auseinandersetzen. Während das Einstiegskapitel einen gelungenen Überblick über die jeweiligen theoretischen Debatten bietet und den besonderen politischen Charakter von Fabrik‑ und Arbeiterräten betont, sind die weiteren Teile des Buches den vielseitigen historischen Facetten der Arbeiterselbstverwaltung gewidmet. Die Bandbreite der einzelnen Beiträge reicht dabei von den Arbeiterräten während der Novemberrevolution (Ralf Hoffrogge) und der Arbeiterkontrolle in Java 1945/1946 (Jafar Suryomenggolo) über die Fabrikräte und Arbeiterversammlungen in Italien der 1970er‑Jahre (Patrick Cuninghame) bis hin zu aktuellen Beispielen der Arbeiterkontrolle in Venezuela (Dario Azzellini) und Argentinien (Marina Kabat). Die wesentliche Stärke des Sammelbandes, der ursprünglich unter dem Titel „Ours to Master and to Own. Workers Control from the Commune to the Present“ (2011) erschien, besteht in der Heterogenität der Beiträge sowie der Zusammenführung von zeitgenössischen und historischen Analysen. Das Werk von Azzellini und Ness knüpft an bestehende Diskussionen an und setzt eine Vielzahl neuer Akzente. Es leistet insgesamt einen hervorragenden Beitrag zur neueren Räteforschung.
PW-Portal - Portal für Politikwissenschaft | 14.03.2013
Αρχές του 20ού αιώνα – Εργατικά Συμβούλια και Εργατικός Έλεγχος κατά τη διάρκεια Επαναστάσεων, 1960-2000 – Εργατικός 'Ελεγχος ενάντια στην Καπιταλιστική Αναδιάρθρωση, Κριτικές Βιβλίων, Björn Allmendinger, Καταλήψεις Χώρων Εργασίας, Εργατική Αυτοδιαχείριση, 21ος αιώνας – Εργατικός Έλεγχος στη Σύγχρονη ΕποχήMediaΝαιΝαιNoΌχι -
French22/03/13
La lutte des Fralib-Thé Éléphant est emblématique. Elle nous montre des salariés qui refusent de baisser les yeux face à Unilever, géant capitaliste de l’agro-alimentaire. Non contents de défier la multinationale, ils ont construit un projet alternatif, celui de créer une société coopérative ouvrière de production, la « SCOP T.I », qui fera appel à des producteurs locaux pour les ingrédients nécessaires à la fabrication des infusions.
Ce livre raconte cette histoire exemplaire.
Il est le fruit des travaux du premier « Séminaire ouvrier », qui s’est déroulé le 8 décembre 2012 sur le site de Fralib même, à Gémenos, près d’Aubagne. Ensemble, universitaires, journalistes, ouvriers et militant-e-s politiques et syndicaux, ont réfléchi et débattu de l’économie sociale et solidaire.
Au-delà, il s’agit d’un ouvrage qui permettra à chacun de multiplier cette expérience, en d’autres lieux et sur d’autres thèmes. Utilisez-le à ces fins.Hélène Le Cacheux est membre du bureau national du Parti de Gauche et co-animatrice du Front de Gauche des Bouches-du-Rhône.
François Longérinas est secrétaire national du Parti de Gauche et co-animateur du Front de Gauche de l’économie sociale et solidaire.
Avec les contributions de: Benoît Borrits, Gérard Cazorla, Alexandre Fassi, José-Angel Fernandez, Amine Ghenim, Elodie Groutsche, HK, Rim Hidri, Olivier Leberquier, Philippe Levaillant, Evelyne Perrin et Jean-Paul Pla.
Association Autogestion
22 mars 2013
http://www.autogestion.asso.frAvec les Fralib, de la résistance à l’alternative, les luttes s'alimentent des luttes
Ouvrage collectif
Bruno Leprince éditeur, 104 pages, 5€Κριτικές Βιβλίων, Fralib, François Longérinas, Ανακτημένες Επιχειρήσεις, Εργατική Αυτοδιαχείριση, 21ος αιώνας – Εργατικός Έλεγχος στη Σύγχρονη Εποχή, Γαλλία, ΕυρώπηGeographicalΝαιΝαιNoΌχι -
German19/03/13Rezension
Ein Marx-Zitat über die Pariser Kommune im Titel liefert das Motto dieses Bandes über Arbeiterräte, Arbeiterkontrolle und Arbeiterselbstverwaltung. Also über die Formen der Selbsttätigkeit der Arbeiterschaft, die auf die Beschränkung oder gar Ersetzung des Eigentumsrechts der Unternehmer abzielt. Eine politische Emanzipation, so Marx, wäre unmöglich, wenn sie nicht auch in einem wechselseitigen Verhältnis zur Umwälzung der Ökonomie durch die Produzenten stehe. Dieser Gedanke war in den neuen Protestbewegungen um 1968 weit verbreitet, verlor dann jedoch an Bedeutung, als die Ausrufung von Parteien plötzlich zum Dreh- und Angelpunkt jeglicher Emanzipation erklärt wurde.
Der auch in dieser Zeitung schreibende Lateinamerikaexperte Dario Azzellini und der New Yorker Politikwissenschaftler Immanuel Ness, u. a. Herausgeber einer leider nur englisch vorliegenden Internationalen Enzyklopädie über Revolutionen und Proteste, haben linke Wissenschaftler und Aktivisten versammelt, die Fallstudien und Analysen zu Basisbewegungen der Lohnarbeiterschaft verfassten, darunter auch über weniger prominente, etwa aus der »Dritten Welt«. Den Länderberichten sind Beiträge vorgeschaltet, die eine Bilanz der bisherigen Erfahrungen und eine Theorie der Räte zu formulieren suchen. Es folgen Beiträge zu den »klassischen« Revolutionen
nach 1917 und zu Erfahrungen im »realen Sozialismus« (Polen und Jugoslawien). Ein weiterer Block umfasst Beispiele aus dem antikolonialen und demokratischen Kampf (Indonesien, Algerien und Argentinien sowie Portugal). Vier Aufsätze beschäftigen sich mit Arbeiterkontrollbewegungen, die nicht in einer revolutionären Situation
auftauchten, sondern unmittelbarer Ausdruck einer Gegenwehr gegen kapitalistische Umstrukturierungen darstellten: in den USA, in Großbritannien und in Italien der 70er Jahre sowie abschließend ein Beispiel aus Kanada. Schließlich werden aktuelle Entwicklungen in Indien, Venezuela und Brasilien beleuchtet.
Es ist schwierig, aus all den vielen Beispielen so etwas wie ein allgemeines Modell zu entwickeln. Dazu sind die jeweiligen Kontexte zu unterschiedlich. Zwischen einer gewaltigen politisch-militärischen Niederlage wie nach den beiden Weltkriegen und partiellen Betriebskämpfen liegen Welten. Ebenso ist der politische Kontext bestimmend: Ist ein mehr oder weniger demokratisches System gegeben oder nicht? Sodann bieten Parteien oder Gewerkschaften unterschiedlichen Antworten, von direkter Konfrontation bis hin zum Versuch, selbstständige und selbsttätige Bewegungen zu korrumpieren und zu vereinnahmen.
Nicht unwichtig ist auch der jeweilige ökonomische Spielraum. Und nicht zuletzt ist das gesellschaftliche Bewusstsein, sind die vorherrschenden Ideologien von entscheidender Bedeutung. Es stellt sich nicht nur die Frage nach dem Verhältnis von Räten in den Betrieben zur politischen Macht, sondern auch die nach den Beziehungen der einzelnen Betriebe unter Arbeiterkontrolle oder Selbstverwaltung zueinander.
Zu all diesen Fragen werden hier grundlegende Informationen geboten und zugleich versucht, daraus verallgemeinernde Schlüsse zu ziehen. Wie die Herausgeber in ihrer Einleitung betonen, finden sich in der Geschichte viele weitere exemplarische Fälle. Ein Folgeband sei möglich. Inzwischen bietet sich zur Fortsetzung und Vertiefung der Diskussion auch das Internet an. So gibt es die Website workerscontrol.net, die
mehrsprachig Artikel und Materialien zu diesem Themenkomplex umfänglicher als ein Buch publik machen kann. Ungeachtet dessen ist für dieses informative Buch zu danken. Eine Frage allerdings bleibt auch hier offen: Wie lässt sich die wachsende Zahl der informellen und prekären Arbeitskräfte in eine Bewegung zur Arbeiterkontrolle und Selbstverwaltung in Beziehung setzen? Wie können deren Rechte vertreten und durchgesetzt werden?Dario Azzellini/Immanuel Ness (Hg.):
»Die endlich entdeckte politische Form«: Fabrikräte und Selbstverwaltung von der Russischen Revolution bis heute.
Neuer ISP Verlag. 540 S., br., 29,80 €.neues deutschland | 14. bis 17. März 2013
Αρχές του 20ού αιώνα – Εργατικά Συμβούλια και Εργατικός Έλεγχος κατά τη διάρκεια Επαναστάσεων, 1960-2000 – Εργατικός 'Ελεγχος ενάντια στην Καπιταλιστική Αναδιάρθρωση, Κριτικές Βιβλίων, Reiner Tosstorff, Εργατική Αυτοδιαχείριση, 21ος αιώνας – Εργατικός Έλεγχος στη Σύγχρονη ΕποχήMediaΝαιΝαιNoΌχι -
German19/03/13
Die Ideen von "Arbeiterkontrolle" und "Arbeiterselbstverwaltung" zogen sich quer durch die vielfältigen Protestbewegungen am Ende der 1960er und Beginn der 1970er Jahre, die gemeinhin unter der Chiffre "1968" firmieren. Am deutlichsten drückte sich diese transnationale Tendenz wahrscheinlich im Mai 1968 während des Generalstreiks in Frankreich mit seinen Forderungen nach "Autogestion" (Selbstverwaltung) aus. Der Wunsch nach einer radikalen Demokratisierung und Humanisierung der Arbeitsbeziehungen war ein zentraler Bestandteil der Suche nach gesellschaftlichen Alternativen jenseits von Kapitalismus und etatistischem Sozialismus, jenseits von repräsentativer - "bürgerlicher" - Demokratie im Westen und den autoritär-bürokratischen Herrschaftssystemen des "Realsozialismus" sowjetischer Prägung.
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Den ganzen Artikel lesen:
Erstveröffentlichung in ITH Tagungsbericht 2009/Nr. 43 "1968 - Ein Blick auf die Protestbewegung 40 Jahre danach aus globaler Perspektive" hrsg. von der International Conference of Labour and Social History (www.ith.or.at)
1960-2000 – Εργατικός 'Ελεγχος ενάντια στην Καπιταλιστική Αναδιάρθρωση, Εργατικός Έλεγχος υπό τον Κρατικό Σοσιαλισμό, Boris Kanzleiter, Άμεση Δημοκρατία, Εργατική Αυτοδιαχείριση, Εργατικός Έλεγχος, Εργατικά Συμβούλια, Πρώην Γιουγκοσλαβία, ΕυρώπηTopicΝαιΝαιNoΌχι -
German19/03/13Eine ambivalente Erfahrung
„Produzentendemokratie“ und „Arbeiterselbstverwaltung“ sind Begriffe, die in der Diskussion über eine alternative Wirtschaftsordnung untrennbar mit dem „jugoslawischen Experiment“ verbunden sind. Der „Dritte Weg“ des jugoslawischen Sozialismus bildete einen wichtigen Referenzpunkt für die Debatten der internationalen Linken. Seit der Abkehr der jugoslawischen KommunistInnen von Moskau 1948 stand Jugoslawien für den erfolgreichen Bruch eines sozialistischen Landes mit dem „Stalinismus“. Die Proklamation der „Arbeiterselbstverwaltung“ knüpfte an die Ideen einer demokratischen Linken jenseits der konservativen Sozialdemokratie im Westen und des bürokratisierten „Staatssozialismus“ im Osten an.
Das Experiment Jugoslawien faszinierte weltweit. In Jugoslawien selbst allerdings war das Selbstverwaltungssystem stets umkämpft. Beim Bruch mit Moskau verfügten die jugoslawischen KommunistInnen über keine vorformulierten Alternativen zum Sowjetsystem, das sie nach dem Zweiten Weltkrieg zunächst zu kopieren versucht hatten. Eine Besonderheit waren allerdings lokale „Volksräte“, welche im Krieg zur Unterstützung der Partisanenbewegungen als revolutionäre Verwaltungsorgane entstanden waren. Sie sollten in den neuen Konzeptionen der jugoslawischen Parteitheoretiker zum Ausgangspunkt eines sozialistischen Modells werden, das in Anlehnung an Marx‘ Überlegungen zur Pariser Kommune an Formen der direkten Demokratie anknüpfen sollte, sowohl im politischen System als auch in der Wirtschaft.
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Den ganzen Artikel lesen:Erstveröffentlichung in Luxemburg 3/2011 (www.zeitschrift-luxemburg.de) und transform! 09/2011 (www.transform-netzwerk.net)
Εργατικός Έλεγχος υπό τον Κρατικό Σοσιαλισμό, Boris Kanzleiter, Άμεση Δημοκρατία, Κομμούνα του Παρισιού 1871, Εργατική Αυτοδιαχείριση, Εργατικά Συμβούλια, Πρώην Γιουγκοσλαβία, ΕυρώπηTopicΝαιΝαιNoΌχι
